L’examen au Code de la route n’est pas si difficile à passer. On ne peut pas dire que seuls les candidats ayant un QI supérieur à 140 peuvent le réussir. Il est néanmoins nécessaire de bien suivre les cours, de comprendre les bases ainsi que les spécificités du code. Mais il faut également apprendre à déceler les questions pièges. Et pour y arriver, la seule solution est de bien comprendre le code. D’ailleurs, ces questions pièges n’ont qu’un seul objectif : s’assurer que vous comprenez bien les règles de conduite et de sécurité sur les routes.
Qu’est-ce qu’une question piège ?
D’abord, sachez que l’épreuve théorique au Code de la route comprend 40 questions sur 10 thématiques se rapportant au Code de la route. Avant d’y répondre, il vous suffit de lire et de bien comprendre chaque interrogation. Parmi ces questions, certaines sont assez simples si vous avez bien appris vos cours. D’autres sont cependant assez complexes. Ces dernières sont considérées par les candidats comme étant les « questions pièges ». Ces questions peuvent être en deux temps. Elles peuvent également être des questions aux multiples choix, etc. La complexité de ces questions est expliquée par le fait que leurs réponses ne nécessitent pas seulement la connaissance des cours. Elles nécessitent également une expérience de conduite.
Les questions en deux parties
Comme le nom l’indique, il s’agit d’une question qui comprend deux parties distinctes. Vous devez répondre correctement aux deux questions, sans quoi, vous n’obtiendrez pas de points. Si vous répondez correctement à seulement une partie, vous n’aurez pas de demi-point. Qui plus est, il y a une durée de traitement.
Les questions à choix multiples
Ces questions pièges commencent généralement par « je peux » où « je dois ». C’est la réforme mise en place en 2016 qui demande à ce que le candidat au code puisse différencier ce qui est permis et ce qui est obligatoire. Pour y répondre correctement, il faut faire preuve d’une réflexion minutieuse.
Les questions avec un élément perturbateur
Certaines questions qui paraissent trop simples rendent le candidat assez perplexe. Il est amené à chercher le piège dans ces questions qui semblent trop faciles. Et c’est là que réside le piège, le candidat passe trop de temps à chercher ce qu’il y a derrière la question. Néanmoins, certaines questions sont réellement complexes et contiennent un élément qualifié de « perturbateur ». Pour ne pas passer à côté de quelque chose, il faut observer et analyser les images. Les éléments perturbateurs peuvent être visibles sur le rétroviseur du véhicule, à l’arrière de l’auto, etc.
Comment réussir à déceler ces questions pièges ?
Choisissez une auto-école qui correspond à votre situation
Pour réussir l’examen au code de la route, il faut suivre une formation complète. Vous avez le choix de suivre une formation en ligne ou une formation dans une auto école. Les deux options peuvent vous permettre de maîtriser le code. Prenez votre décision en fonction de votre emploi du temps. Si vous n’avez pas assez de temps pour assister au cours dans un établissement, vous pouvez parfaitement suivre des cours en ligne. D’ailleurs, les auto-écoles en ligne sont plus pratiques et plus flexibles. C’est ce qui fait qu’elles ont autant de succès. Suivre les cours via un établissement en ligne est donc moins stressant. Par ricochet, vous êtes plus concentré sur l’apprentissage proprement dit.
Ne négligez pas les séances de pratique
Perfectionnez-vous ! La théorie à elle seule ne suffit pas. N’hésitez pas à ajouter quelques heures de conduite par semaine avec votre moniteur. Seule l’expérience vous permet de connaître toutes les facettes du code. Plus vous conduisez, plus vous maîtrisez le code de la route. Et les questions pièges n’auront plus aucun secret pour vous.